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LISTEN TO OUR MUSIC

"Guitare incisivement rock punk et sensualité d'une chanteuse bassiste hors normes aux influences indie punk surf music ,chapeaux bas vous etes au top"
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"Super taff continué comme ça ;)"
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"Efficace et inspiré, c'est très bon, bravo."
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CHRONIQUE
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Le split de Run Ronie Run est une palette des possibilités créatives de ce trio manceau débordant de sensibilité et de rage contenues.

 

La production est impeccable tant au niveau de l’enregistrement que du visuel. Le tout forme l’écrin indispensable pour mesurer à quel point nos trois artistes prennent un plaisir sans limite à nous faire entrer dans leur univers si singulier.

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« Monster » en est une illustration en venant nous cueillir dans une douce et sincère mélancolie très habilement soutenue par des cuivres. Le combo ne se limite pas seulement à sa base harmonique et rythmique basse/batterie/guitare classique pour s’adresser à nos failles intimes ils usent d’artifices acoustiques pour soulever la vague émotionnelle qui peut à peu nous submerge... sourdement...sûrement.

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« Robotic » Lorsque la côte EST rencontre la côte OUEST (et je ne parle pas de la France) c’est, pour ce titre, évoquer la rencontre de PIXIES et THE DISTILLERS dans ce qu’ils ont produit de plus indie et de plus pur. Pas d’effets de manche sinon celles qu’on retrousse pour envoyer un mur de son décoiffant et vitaminant. Run Ronie Run a digéré l’essentiel de ses influences punk pour nous servir un beau morceau bien choisi, bien arrangé et bien cuisiné! Ne soyez pas surpris il se pourrait que de manière tout à fait anodine vous marmonniez entre le fromage et le dessert le gimmick du refrain de « Robotic ».

 

Le Clip : « Monster »

« A la lumière de l’intime conviction, le clair-obscur suffit à lui seul à imposer une lecture de l’espace et du temps. Le spleen véhicule la certitude des paroles pleines, prolongements logiques de ce qui se vit dans les corps. La pudeur détourne les regards jusque là saturés d’illusions pour laisser place à la vérité intérieure. La distance, comme le fruit du constat implacable, signe le désengagement ultime de l’être blessé qui se laisse peu à peu envahir par une plénitude océanique.

RUN RONIE RUN nous cueille une nouvelle fois par sa poésie subtile et délicate. C’est au creux de l’oreille et à fleur de peau que le groupe nous invite au voyage intérieur et profond...un voyage au plus près de notre cœur.

 

Dimitri

CHRONIQUE
 
"Monster VS Robotic" 

La vie est parfois drôle, on clique sur un bouton et paf, un nouveau morceau vous arrive en pleine tête. 

Run Ronie Run, du Mans, va sortir un jolie 45 tours prochainement, le morceau "Robotic" est un peu fou, fou comme nous tous à un certain niveau. 

Plein de maitrise dans le jeux des musiciens, Bambirock, Gilles et Antoine ont enregistré Robotic à Swan Sound Studio à coté de Caen avec aux manettes Guillaume Doussaud qui avait déja travaillé sur leur précédent album "Sordid Cabaret".

Ca démarre au taquet et nous emporte direct dans les étoiles, l'ajout de trompette par Alexandre Leguillon est un plus qui donne envie de bouger dans le salon prés du feu.

Le son n'est pas froid comme on pourrait penser, Robotic ou le robot qu'on fait en dansant, mais bien au contraire, ça frappe, ça vous dégouline dans les oreilles comme le miel que mamie nous met sur les tartines à la maison. 

"Robotic" , nous parle de la morosité ambiante, de ce climat malsain qui habite la Françe actuellement, ... 
La police vous parle tous les soirs à 20 h comme disait Mickey 3D et Jean-Pierre qui nous parle des mecs qui fabriquent des chaussons en bois dans le vercors, ... 

Et le grand Zork au manette de ce jeux vidéo qu'est la vie à parfois l'air d'un monstre.

Mais bon, une bonne bouffée d'oxygéne et croquer la pomme, repartir, et avancer en résistant aux coups de matraque qui nous tombent parfois sur la tête, ... 

Le morceau "Monster" la face A du 45 tours à été enregistré par Rémi Savin au Silo cet Ep va sortir en autoprod, fabriqué avec leurs petites mains, des ciseaux et une photocopieuses et hop le tour est joué.

Une release party au Bar Ouf du Mans, va permettre de voir ou revoir en live "Run Ronie Run", de se prendre quelques bon pavés musicaux de la vieille ville dans la tête et rêver à des lendemains qui chantent comme dirait Les Thugs.

Fred Lpmr - Radio G ! - Ca dégouline dans le cornet - Angers.
CHRONIQUE
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"Run Ronie Run, du Mans, oui cette jolie ville avec sa vieille muraille et son vieux Mans. On peu faire un raccourci avec Le Mans et les 24 heures mais ce n'est pas que ça.

Il y a aussi une scène active la bas, Run Ronie Run en fait parti avec comme copains de jeux T u r b o p a n d a n é s u r l e s c e n d r e s d e P o w e l l .

 

Monster est extrait du prochain album à sortir dans le courant de l'année, le trio nous emmène en ballade sur les bords de Sarthe ou ailleurs. Je pense que ce morceau est un des plus posée que j'ai pu écouter jusqu’à aujourd’hui de Run Ronie Run,

il est bon parfois de se laisser emporter par la mélancolie et la poésie des compositions.

 

Super tour de force de leur part, ça s’écoute tranquillement, posé au bord d'un lac par exemple à contempler le paysage, tout en rêvassant. Me reste plus qu'a leur demander de quoi ça parle et la boucle sera boucler, bref j’adhère, merci à eux pour ce beau moment."

 

Fred Ã‡a dégouline dans le cornet Radio G.

CHRONIQUE

 

6 ans après la sortie de « Last Breath » qui avait valu au combo quelques dates dans le département ;

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Run Ronie Run revient avec « Sordid Cabaret », son second album 12 titres.

 

Si à la première écoute, l'intention générale semble rester dans la droite lignée des classiques rock 90's,

le groupe a indéniablement affûté sa lame pour se rapprocher tantôt de la powerpop de Symposium ou Ash

(INXS, Burn This House avec Gilles Laurent au chant !), tantôt flirter avec le Stoner ( Desert ).

 

Si le trio se défend aussi bien en formule électrique qu'acoustique, il faut bien avouer que la valeur ajoutée de ce groupe reste avant tout sa touche féminine (au chant et à la basse).

Guillaume Doussaud (qui a enregistré le disque) a su la mettre en valeur comme il se doit; apportant par ailleurs un son garage à cet album, ce qui n'est pas pour nous déplaire.

A noter enfin, le chouette et illustratif visuel qui accompagne l'album, par Barbu. MARTI

CHRONIQUE

 

Rarement un disque sorti ces dernières années aura autant sonné 90's, tant du point de vue de la production que des morceaux eux-mêmes, oscillant entre rock alternatif incisif, noise-punk racé et pop grungy aussi électrique que fougueuse.

 

Et pourtant Last breath est un disque paru très récemment (fin 2010) dévoilant un groupe qui n'a certainement pas encore fait le deuil de sa jeunesse musicale...

Tant mieux pour eux, car s'ils remettent au goût du jour les codes de la musique d'une époque maintenant révolue mais qui rend de plus en plus nostalgique, ils le font avec une classe certaine et un savoir fait évident ("Run Ronnie Run"). Groovy à souhait ("Dance for me"), mais également intimiste et fiévreux (le très beau "Sully"), énergisant comme pas deux ("Sooner or later", "Soulless"), le groupe sait varier les plaisir sans jamais passer pour ce qu'l n'est pas et se révèle donc plutôt efficace dans son genre ("Failure").

 

Malgré tout, l'ensemble est parfois un peu trop "propret" ("Sometimes") et sage ("Minute love").

Là où les Run Ronie Run auraient pu (du ?) envoyer le gros son bien roots qui brûle les enceintes pour gagner en intensité et puissance d'impact, ils semblent parfois en garder sous la pédale d'effet, comme s'ils hésitaient par instants à enlever (ou pas) la sourdine.

Ce qu'il fait du reste un peu plus à partir de "Dependency to" et plus encore avec l'excellent "Fun or pain for us".

Le trio met alors le pied sur l'accélérateur et se décide à faire parler la poudre, pour en découdre (oh ça rime...) avec "Day off" et ses riffs bien clinquants, avant de conclure l'album sur une note plus légère et une ballade acoustique : "Emergency".

 

De jolies mélodies, un chant porté par des voix qui se complètent harmonieusement, une poignée de riffs tranchants et un zeste de groove bien senti, Run Ronie Run fait le job et livre ici un premier disque plus qu'honorable et au potentiel de sympathie évident WWW.Fenec.org

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